Pourquoi faire appel à un traducteur professionnel ?
Effectivement, pourquoi faire appel à un traducteur professionnel quand il y a des outils automatiques et des services de traduction en ligne qui traduisent dans un grand nombre de langues, et en plus gratuitement ?
Tout est question de l’importance et de la valeur que vous accordez aux documents pour lesquels vous avez besoin d’une ou plusieurs versions linguistiques. Si vous avez reçu un email d’un correspondant chinois qui ne s’exprime que dans sa langue, que vous ne maîtrisez pas, vous voudrez comprendre ce qu’il vous dit et serez sans doute tenté d’utiliser un service en ligne gratuit. Vous obtiendrez un texte traduit dans votre langue, et peu importe s’il comporte des fautes d’orthographe et de grammaire et si c’est du charabia, quelques mots par-ci par-là vous permettront peut-être d’appréhender le sujet et le propos de votre correspondant. En revanche, s’il vous envoie un contrat liant votre entreprise et la sienne pour une durée de cinq ans, vous aurez plutôt intérêt à recourir à une agence de traduction professionnelle telle que MYLANDRIS.
Je vais vous raconter une anecdote. Nous avons eu un jour un rendez-vous en clientèle pour discuter des besoins qu’avait cet éditeur, une petite start-up, de faire traduire l’interface de son logiciel, conjointement au manuel d’utilisation et à l’aide en ligne. La combinaison de langues était classique, du français vers l’anglais. Nous nous sommes alors entendu dire par le directeur général qui participait à la réunion : « De toute façon, la traduction c’est facile, il suffit de prendre le dictionnaire et de remplacer un mot par un autre ». Et le développeur de renchérir : « J’ai commencé, j’aurais bien continué moi-même, mais je n’ai pas le temps ». Bien. C’est dit. Quand on valorise si peu son propre produit, il est évident que l’on ne peut pas attribuer une grande valeur à la traduction.
La traduction professionnelle est un métier, un « vrai » métier ; elle ne s’improvise pas, elle ne se pratique pas sur le coin de la table de la cuisine. Le traducteur professionnel a suivi des études dédiées, il possède des compétences linguistiques dans une ou plusieurs langues, il est doté de capacités d’analyse textuelle et de rédaction, il a la conscience professionnelle de ne traduire que vers sa langue maternelle qu’il maîtrise mieux que toute autre.
En outre, s’agissant de traduction technique, le traducteur professionnel possède également de solides connaissances techniques et maîtrise la terminologie dans les langues qu’il pratique. Il utilise le vocabulaire adéquat, spécifique du domaine concerné. Ainsi, dans un texte informatique, il ne traduira pas « serveur » par « barman », mais par « server ». Il ne traduira pas « invoice number » par « facture du chiffre », comme nous l’avons déjà vu, mais bien par « numéro de facture », ce qui se comprend nettement mieux !
Le traducteur professionnel utilise les outils spécifiques de son métier, il se tient informé des actualités du ou des domaines techniques qu’il traite, il sait rendre compréhensible un texte dans une langue cible afin que les personnes qui n’ont pas de connaissances de la langue source puissent utiliser le produit ou le logiciel, comprendre les informations véhiculées par l’auteur, ou encore appréhender une culture différente de la-leur.
Le traducteur professionnel retransmet les idées et notions exprimées dans le texte d’origine. Il ne peut se permettre d’introduire ses opinions ou de sous-entendre ses propres idées dans les tournures qu’il emploie dans ses traductions. Il ne se permet pas non plus de supprimer des parties du texte qui ne lui plairaient pas ou qu’il jugerait inutiles.
Alors si vous accordez de la valeur aux produits et services que vous proposez, si vous voulez conquérir de nouveaux marchés à l’international en ayant l’assurance que vos messages sont correctement retransmis et compris, n’ayez aucune hésitation : faites appel aux traducteurs professionnels de MYLANDRIS !